Des petites notes de musiques chaleureuses ont envahi mon appartement, 24h dans un lit à ne rien faire, ne rien penser, juste dormir.
Il ne fait pas beau, je retrouve le soleil des vacances dans le sud, quand je passais en boucle Circulado….
Ça tourne, tourne, tourne….
mais doucement, il fait beaucoup plus froid, beaucoup moins beau, ici, aujourd’hui.
J’ai arraché l’écorce d’un pamplemousse avec beaucoup de délicatesse, ensuite avec un couteau j’ai gratté ses couches de peaux au goût amer pour ne plus avoir dans la main que les poches rouges de jus dégoulinantes.
Il ne fait pas très beau, j’ai appuyé sur pause.
Hier soir, j’ai pleuré devant la télévision. Parce qu’il y avait beaucoup trop d’amour à l’écran, je ne suis pas amoureuse, enfin si, je suis amoureuse, mais de personne.
Je crois que c’est encore plus émouvant, de se sentir l’âme amoureuse, le cœur serré, quand on ne sait pas pour qui.
Un jour, c’est l’un, ensuite l’autre. Et après, je rentre seule et je m’endors en rêvant d’une silhouette floue, sans prénom, d’un mélange de souvenirs et de rêves.
Je me réveil avec lui à côté, sa chaleur, sa douceur, il me caresse le corps doucement, ce n’est plus lui mon amoureux, mais se retrouver dans ses bras, c’était un truc, de partager encore un peu d’intimité, celle qui a pris tellement de temps avant d’exister, alors après du temps loin, la sentir encore toute chaude, on ne s’aime plus, enfin plus comme avant. C’est une certitude, mais je suis aussi certaine aujourd’hui que je l’aime très fort, beaucoup. C’est pas pareil, juste autre chose.
Il ne fait plus tellement jour, la pièce est déjà sombre, je suis en peignoir, et j’ai la chair de poule sur les jambes, il faudrait se dépêcher, pour aller au rendez-vous, je crois que non, je vais juste ne pas y aller, pas envie de mettre le nez dehors, aujourd’hui, je dors et c’est tout, point final, je dors, je me repose, je fais pause, et j’appuis sur play une fois de plus. Mes voisins écoutent donc pour la sixième fois le même cd, et encore j’ai pas fini, d’appuyer sur play.
Ça tourne, tourne, tourne….
mais doucement, il fait beaucoup plus froid, beaucoup moins beau, ici, aujourd’hui.
J’ai arraché l’écorce d’un pamplemousse avec beaucoup de délicatesse, ensuite avec un couteau j’ai gratté ses couches de peaux au goût amer pour ne plus avoir dans la main que les poches rouges de jus dégoulinantes.
Il ne fait pas très beau, j’ai appuyé sur pause.
Hier soir, j’ai pleuré devant la télévision. Parce qu’il y avait beaucoup trop d’amour à l’écran, je ne suis pas amoureuse, enfin si, je suis amoureuse, mais de personne.
Je crois que c’est encore plus émouvant, de se sentir l’âme amoureuse, le cœur serré, quand on ne sait pas pour qui.
Un jour, c’est l’un, ensuite l’autre. Et après, je rentre seule et je m’endors en rêvant d’une silhouette floue, sans prénom, d’un mélange de souvenirs et de rêves.
Je me réveil avec lui à côté, sa chaleur, sa douceur, il me caresse le corps doucement, ce n’est plus lui mon amoureux, mais se retrouver dans ses bras, c’était un truc, de partager encore un peu d’intimité, celle qui a pris tellement de temps avant d’exister, alors après du temps loin, la sentir encore toute chaude, on ne s’aime plus, enfin plus comme avant. C’est une certitude, mais je suis aussi certaine aujourd’hui que je l’aime très fort, beaucoup. C’est pas pareil, juste autre chose.
Il ne fait plus tellement jour, la pièce est déjà sombre, je suis en peignoir, et j’ai la chair de poule sur les jambes, il faudrait se dépêcher, pour aller au rendez-vous, je crois que non, je vais juste ne pas y aller, pas envie de mettre le nez dehors, aujourd’hui, je dors et c’est tout, point final, je dors, je me repose, je fais pause, et j’appuis sur play une fois de plus. Mes voisins écoutent donc pour la sixième fois le même cd, et encore j’ai pas fini, d’appuyer sur play.
Et de faire pause, encore un peu.
by Amande In )