Je suis allé danser encore ce soir, une fois de plus, je les vois tous s’amuser, sans savoir quoi leur dire, il y a trop de bruit de toute façon, ça aide, je n’ai pas besoin de parler, c’est mieux.
Je m’assois juste comme ça, un coin sombre, je regarde le déhanchement savoureux des filles, les bouches ouvertes en grand, bordées de rouges vifs, les yeux plissés tout noirs, les décolletés de chairs suaves.
Ensuite j’enchaîne les clopes, la fumé dans les yeux, un peu de la bonne bière, bien amer, pour me remplir le bide.
Je m’affale dans le canapé, de plus en plus mou, toujours, comme ça, puis ils font partir les gens, je rentre seul, je dors, et j’ai mal à la tête au réveil.
Il est encore passé en coup de vent aujourd’hui, même pas un message, pour me montrer que j’existe encore dans son existence, non rien, je suis passé au resto pour prendre une pizza, j’avais faim, j’ai pas avalé une bouché, je suis resté seul dans le noir, j’ai enchaîné quelques clopes, je me suis endormi.
Elle a pris l’avion à 5 heures ce matin, j’ai traversé le froid et la neige pour juste la voir s’éloigner très loin, dans le bus, rien, pas un bruit, à 5 heures les gens dorment encore tout habillés, moi j’avais juste envie de lui dire reviens.
J’ai baisé avec elle, par terre et aussi dans le grand lit qui n’est pas à moi, juste se regarder pénétrer un corps étranger, dans un lit qui n’est pas le sien. J’étais ému après. Je ne sais pas comment lui dire de rester. Je crois qu’elle partira de toute façon.
Elle a dansé toute la nuit devant moi, j’ai regardé immobile, aussi essayer de la rejoindre, mais j’ai pas décollé du canapé, de plus en plus mou, j’ai juste dit, viens, on fait un tour, dans le froid glacial, -30°c en ce moment dans ce putain de nulle part.
J’ai embrassé la peau si douce, je connaissais pas ça avant, juste ma main pour satisfaire et résoudre les tensions, seul. On a pas beaucoup parlé, je crois qu’il n’y avait pas grand chose à dire, j’avais juste envie de ça, comme ça, c’est bien.
Elle m’a suivit dans le froid, les yeux qui brillaient, on a échangé des paroles maladroites, j’ai envie de prendre son corps, en long, en large et en travers, elle n’est pas d’ici, elle va partir bientôt. J’aimerai lui dire reste.
Ensuite j’enchaîne les clopes, la fumé dans les yeux, un peu de la bonne bière, bien amer, pour me remplir le bide.
Je m’affale dans le canapé, de plus en plus mou, toujours, comme ça, puis ils font partir les gens, je rentre seul, je dors, et j’ai mal à la tête au réveil.
Il est encore passé en coup de vent aujourd’hui, même pas un message, pour me montrer que j’existe encore dans son existence, non rien, je suis passé au resto pour prendre une pizza, j’avais faim, j’ai pas avalé une bouché, je suis resté seul dans le noir, j’ai enchaîné quelques clopes, je me suis endormi.
Elle a pris l’avion à 5 heures ce matin, j’ai traversé le froid et la neige pour juste la voir s’éloigner très loin, dans le bus, rien, pas un bruit, à 5 heures les gens dorment encore tout habillés, moi j’avais juste envie de lui dire reviens.
J’ai baisé avec elle, par terre et aussi dans le grand lit qui n’est pas à moi, juste se regarder pénétrer un corps étranger, dans un lit qui n’est pas le sien. J’étais ému après. Je ne sais pas comment lui dire de rester. Je crois qu’elle partira de toute façon.
Elle a dansé toute la nuit devant moi, j’ai regardé immobile, aussi essayer de la rejoindre, mais j’ai pas décollé du canapé, de plus en plus mou, j’ai juste dit, viens, on fait un tour, dans le froid glacial, -30°c en ce moment dans ce putain de nulle part.
J’ai embrassé la peau si douce, je connaissais pas ça avant, juste ma main pour satisfaire et résoudre les tensions, seul. On a pas beaucoup parlé, je crois qu’il n’y avait pas grand chose à dire, j’avais juste envie de ça, comme ça, c’est bien.
Elle m’a suivit dans le froid, les yeux qui brillaient, on a échangé des paroles maladroites, j’ai envie de prendre son corps, en long, en large et en travers, elle n’est pas d’ici, elle va partir bientôt. J’aimerai lui dire reste.
by Lonelhe )